Tu as des douleurs d’épaule. Ça traîne, ça t’empêche de t’entraîner, de dormir, de lever le bras. Et forcément, une question revient souvent : « Est-ce que je dois faire une imagerie ? »
IRM ? Radio ? Échographie ? Tu veux des réponses. Logique. Mais es-tu sûr que ça va vraiment t’aider ?
Dans cet article, je t’explique pourquoi l’imagerie médicale n’est pas toujours utile quand on a mal à l’épaule, et comment une évaluation personnalisée te permettra d’aller droit au but. Sans perdre de temps. Ni de motivation.
On imagine souvent que « voir ce qui ne va pas » suffit à régler le problème.
📌 Ce que montre l’imagerie ne reflète pas forcément ce que tu ressens.
Jeremy Lewis, expert mondial de l’épaule, insiste dans son ouvrage de référence sur ce point :
« L’imagerie est souvent inutile lors d’une première consultation pour douleur d’épaule, sauf si elle est intégrée à un raisonnement clinique complet. »
Source : The Shoulder: Theory and Practice, Jeremy Lewis & César Fernández de las Peñas, 2023
Dans la majorité des cas de douleurs à l’épaule, ce n’est pas une image qui fera avancer le schmilblick. Lewis, J. 2016
Si tu veux comprendre ce qui cause ta douleur, et surtout ce que tu peux faire pour la faire disparaître, tu as besoin de trois choses :
Je t’observe, j’évalue ta mobilité, ta force, ta posture, tes mouvements, tes douleurs.
Pas pour cocher des cases. Pour identifier ce qui te limite vraiment.
Tu n’es pas une image IRM. Tu es un sportif, un humain, un système vivant.
Ton historique, ton sport, ton rythme, ton quotidien : tout compte.
Une fois qu’on a compris d’où vient ta douleur, on agit.
Avec des exercices ciblés, à distance, via une app, avec suivi personnalisé.
Pas de pansements. Un vrai traitement.
Je te propose un suivi sur mesure, basé sur un bilan complet, suivi d’un programme d’exercices évolutif sur application.
Le but ? Identifier l’origine de tes douleurs sans te faire perdre du temps avec des examens inutiles, et te remettre sur les rails.
Avec clarté, logique, et résultats.
Prends rendez-vous pour ton bilan personnalisé
Non physiquement. Mais mentalement, oui. Lire "rupture", "dégénérescence" ou "arthrose" sur un compte-rendu peut te faire penser que tu es cassé. C’est l’effet nocebo.
Oui, très souvent. Ce n’est pas l’image qui soigne. C’est le bon diagnostic clinique et la bonne prise en charge.
Elle est très utile pour certains cas (bursite, tendinopathies superficielles), mais chaque examen a ses indications. Ce n’est pas une question de fiabilité, mais de pertinence.
On attend 12 semaines de rééducation bien menée avant de l’envisager, sauf cas graves ou traumatisme aigu.
L’IRM ou la radio ne sont pas des passages obligés quand on a mal à l’épaule.
Ce qui compte, c’est un raisonnement clinique solide, personnalisé, et orienté vers la fonction.
Un bon bilan + un bon plan > une mauvaise image.
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Iban Berasategui, je suis kinésithérapeute sur Saint Jean de Luz depuis 2017.
Je suis spécialisé dans les pathologies de l’épaule chez le sportif.
Je réalise des bilans au cabinet et propose des suivis personnalisé à distance.